quand une image vaut mille mots
Confucius avait raison
… Lorsqu’il a dit “Une image vaut mille mots”. Certes, il faisait peut-être à l’époque référence aux idéogrammes de la langue chinoise, mais ce n’est pas le propos.
J’utilise beaucoup la technique du photolangage, que ce soit dans mes coachings ou dans les formations que je conçois.
Le photolangage, kézako ?
C’est une technique utilisant l’image, comme support de réflexion et de verbalisation.
L’image permet de susciter des pensées, des émotions qui sont ensuite verbalisées par le client/ patient. Pas étonnant que les Egyptiens aient utilisés des hiéroglyphes comme langage !
J’ai tellement aimé utiliser cette technique, dès que je l’ai découverte en formations, que je n’avais pas pris la peine d’en chercher l’origine !
En fait cette technique vient de la théorie analytique, l’image étant appelée “objet médiateur”.
Comment je l’utilise ?
Je l’utilise à différents moments, en début de séance par exemple (inclusion) pour faire un point sur la séance précédente, là où en est le client, en fin de séance (déclusion) ou pendant un moment “délicat” de la séance où la parole est bloquée.
Exemple d’utilisation de photolagange en séance
Exemple de travail sur l’idéal et la réalité.
L’image du haut représente l’idéal = la joie.
La réalité est que ma cliente ferme les yeux et ignore volontairement certains paramètres.
La dernière carte représente ce qui manque pour atteindre l’idéal = s’autoriser à être libre.
(partage autorisé par ma cliente bien entendu !)
Exemple d’utilisation de photolagange en déclusion
Terminer une séance de coaching en utilisant le photolangage, demander au client de tirer une carte au hasard pour qu’il exprime son ressenti, et qu’il s’exclame “c’est le pied”.
Cet article est le 1er article d’une série sur l’Analyse Transactionnelle (ou AT). Cette série est composée de descriptions de concepts, ainsi que de portraits de thérapeutes dont l’expertise en la matière est reconnue.